Sud de la Chine:
la ville de Guiyu, capitale mondiale du recyclage
artisanal des déchets
électroniques
Différentes associations* ont
édité un rapport (fichier
pdf en anglais) décrivant et
dénonçant les conditions de travail
des hommes, femmes et enfants qui trient et
démontent des millers de tonnes de
déchets électroniques d'origine
américaine, japonaise et nationale. Les
produits constituant le matériel
électronique peuvent être très
toxiques (chrome, mercure, cadmium, plomb,
poussières). Les photos ci-dessous (toutes
sous Copyright Basel Action Network, pour un format
plus grand, allez sur le site http://www.ban.org)
montrent que les règles les plus
élémentaires de
sécurité ne sont pas
appliquées.
*Les deux principales associations
éditrices du rapport sont :
Le Basel
Action Network
qui a pour but de s'assurer que la convention
de Bâle et son interdiction (décisions
II/12 et III/1) à l'exportation de
déchets dangereux des pays de l'OCDE vers
les pays non-OCDE ne soit pas affaiblie, mais
plutôt ratifiée et mise en application
aussitôt que possible.
Et la Silicon
Valley Toxics Coalition (SVTC) qui propose des
solutions pour un développement supportable
pour l'environnement et une production propre dans
l'industrie afin d'améliorer la
santé, favoriser la justice, et assurer la
prise de décision démocratique pour
les communautés et les ouvriers
affectés par la révolution de pointe
dans la Silicon Valley et par d'autres secteurs de
pointe des USA et du monde.
En Suisse, la
reprise SWICO garantit que le matériel
de bureautique et de l'électronique de
loisirs qui entre dans sa filière est
éliminé de manière à
respecter l'environnement.
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